
Avant-propos bisEncore et toujours, un gros bout de TTiens ne donne aucune nouvelle... Je ne sais pas ce que je dois en déduire...
Si vous savez que vous aurez du mal voire une réelle impossibilité à faire la course, je ne vous demande pas un mot signé de vos parents ni même aucune excuse mais si vous pouvez : prévenez-moi. Je n'en prendrais pas ombrage (diable, ce n'est qu'un jeu), je ne suis pas là pour vous juger ou distribuer des mauvais points, par contre toute information est bonne à prendre pour m'organiser (attendre l'heure limite pour rien et improviser des CR au milieu de la nuit n'est pas une passion dévorante)
ATTENTION : ARRIVEE EN COTE
-voir corps de texte
Cette fois-ci, ça y est... nous y sommes. L'heure de la grande explication a sonné !
Les coureurs arrivent au pied de l'épreuve majeure du Tour... la plus courte mais la plus difficile. Une arrivée en côte où chaque hectomètre coûtera cher...

Une étape très technique où tout va aller très vite, et qui probablement user les organismes...
Passage dans le pays d'Aranvielle puis près la station de Val Louron, avant l'escalier en colimaçon et l'échelle vers le Col du Portet !

Les rendez-vous de l'étape sont :
- PK1 (montée de Peyragudes) : franchissement de la jonction N-s (44pts au 1er jusqu'à 11pts au 9ème, minimum 10pts pour toute déclaration)
- SI (Loudenvielle) : franchissement de la jonction F-B
- PK2 (Val Louron) : milieu de la tuile L (21pts au 1er jusqu'à 7pts au 10ème, minimum 6 pts pour toute déclaration)
- PK3 : 6ème case de la tuile D (27pts au premier jusqu'à 9pts au 6ème, minimum 8pts pour toute déclaration)
- PK4 (Col du Portet) : ARRIVEE EN COTE ! vous n'avez rien de spécifique à déclarer, ce sera le classement général à l'arrivée (de 30 à 1 pt)
La ligne de départ est constituée (avant placement de vos coureurs) ainsi :

Nota :
- la composition des équipes est la même que sur E15 et E16, tout comme la disposition. C'est "normal".
- la variante de l'échappée est autorisée !
- pas d'aspiration
AU DEPART, votre deck doit inclure autant de Cartes Fatigue que mentionné (en semi-caché, juste avant votre numéro de dossard) en vis-à-vis de vos coureurs en page 1 du topique général. Compte tenu des écarts avec le Gruppetto à l'arrivée, j'ai exceptionnellement considéré que 3 coureurs voyaient leur niveau de CF réduit.
Vos comptes rendus sont toujours vivement encouragés sur le présent topique !
Je vous remercie par avance d'y éviter, dans toute la mesure du possible, toute mention du nombre de tours et du nombre de cartes Fatigue accumulées.
Vos résultats sont à transmettre au plus tard le dimanche 22 septembre 2019 à 00:59 heure de mon PC (21/09/19 23:59 Lisboa time).
Pour ce faire, vous utiliserez ce formulaire, et je rappelle les consignes principales :
- répondez pour vous, donc... avec votre pseudo
- concernant le nombre de tours, le plus simple est a priori de compter les cartes jouées.
- pour les coureurs qui sont restés dans le Gruppetto (= n'ont pas couru cette étape), NE REMPLISSEZ PAS le champ "Nombre de tours" (promis, je n'oublie pas) Vous êtes en revanche obligé.e.s de cliquer sur l'un des boutons de la ligne d'arrivée (c'est comme ça)
- pour les coureurs qui ont RALLIE le Gruppetto en cours d'étape, sélectionnez l'option "G" dans le menu déroulant du nombre de tours. Vous êtes aussi tenu.e.s de cliquer sur n'importe quel bouton de la ligne, mais ne vous inquiétez pas ça n'a aucune incidence. Vous devez toujours déclarer le nombre de CF dans votre deck+défausse après retrait du coureur
Le classement final de l'étape sera dévoilé peu de temps après la clôture, et peu de temps avant le lancement de la 18ème étape, prévu le 22 septembre plus ou moins sans faute;


Je viens de finir la 17ème...

Vicen dit :Prêt(e)s à voir les sprinteurs dégringoler au classement ?
Disons qu'on s'accroche comme on peut ...
Pour le coup, j'ai choisi de prendre le taureau par les cornes.
"Nous allons voir cela avec notre ami Picol.
Picol, il est comment ce taureau ?
Oula ! Il est court sur patte, mais alors très nerveux & bien monté ! Très bien même.
Rien qu'à voir son dénivelé, j'en ai le vertige.
& contre toute attente, c'est Raymond Coquiveille qui lance la première banderille, mais, tout de suite, Ranabis prend sa roue. Cette étape part sur des chapeaux de roues & quand les meilleurs vont s'en mêler ... je n'ose pas imaginer ce que cela va donner.
Onmorementi descend à hauteur de sa voiture pour essayer de comprendre ce que fait son équipier, visiblement, il n'est pas content. C'est le moment que choisi Sinabaj pour s'échapper à son tour, laissant le soin à Canabis d'enfumer le reste du peloton au sommet de la première difficulté.
& c'est une fusée que les deux fuyards voient passer sur le côté gauche de la route, n'ayant que pour seul objectif les points intermédiaires. Mais le sprinter slovène ne relâche pas son effort & pense déjà à la prochaine difficulté qu'il compte monter à son rythme histoire d'avoir encore les cannes pour finir avec les meilleurs ... enfin, je crois.
Mais le directeur sportif Poumon semble avoir demandé à son rouleur de se relever, car GianRicardo accélère & revient à hauteur des deux fuyards matinaux qui ont étonnement laissé filer le sprinter GiBiCi, tout heureux de passer Val Louron en tête.
Mais tout ceci va se payer, il lui est difficile de garder le rythme & il tente de mettre à profit l'avance acquise qui devrait lui permettre de récupérer ... avant de souffrir jusqu'au col du Portet.
Derrière, on ne s'inquiète pas trop & c'est tout le peloton qui le laisse mariner tout en revenant tout doucement dans son sillage.
Incroyable, c'est même Ranabis qui fait l'effort pour faire la jonction, au plus mauvais moment, juste au pied de l'ascension !
Mais Sibanaj s'accroche, son équipier n'est pas vache, il impose un rythme juste assez fort, ou faible c'est selon, pour ne pas le faire décrocher & éviter de laisser le contrôle de la course à ses adversaires, alors que Canabis sème de désordre au sein du peloton.
C'est la dernière ascension, GianRicardo accélère, mais les deux leaders de la GiBiCi le cadenasse, il ne peut pas passer sur cette route étroite & c'est main dans la main (ou presque) que les deux larrons franchissent la ligne d'arrivée, au nez & à la barbe du petit grimpeur Poumon.
Heureusement que nous n'avions pas compté sur les Asphalte pour faire le spectacle, toujours à contre-temps & gêné par un Canabis impérial dans son rôle de coéquipier, ils ont été fantomatiques. "

(Même si tout s'est vachement bien goupillé pour m'économiser un peu, j'ai pris deux-trois fatigues bêtement.)
Merci à Onmorementi surtout, pour m'avoir laissé passer au départ en enchainant trois "3", une fois devant, sur ce type de profil, on souffre tout de même moins nerveusement :D & les Asphalte qui jouent leur 2/9 en monté sont forcément moins en jambes aussi. Mais sans les Poumon, j'aurai clairement pas fait aussi bien, entre les aspirations gagnées & les fatigues évitées, je suis plus qu'heureux, reste à voir le temps par rapport aux autres ... c'est une autre histoire.

N'oubliez pas d'utiliser le côté ARRIVEE EN COTE de la tuile d'arrivée.
Elle implique notamment :
- limitation à 5 quelle que soit la carte utilisée
- pas d'aspiration


grosse course groupée, emmenée par gianricardo, mais qui ne fera jamais la différence.
énorme aspiration dans la descente post pk2, mes coureurs terminent avec moins de fatigue qu'au départ...

mais le chrono s'en fait ressentir. Y'a moyen que je perde pas mal de temps au maillot jaune.
je l'ai rejouée après 4 fois qd même pour réussir à améliorer mes temps. au prix de pas mal de fatigue. à voir si mon économie sera payante pour les courses suivantes.
celle-ci je parlerais bien technique de jeu. ça m'intéresserais assez de savoir comment chacun la envisagée avant le départ. mais on attendra les résultats !

Du coup, Ray Ussyr se met en condition pour attaquer d'entrée de course et espérer que ses jambes le porteront suffisamment longtemps pour grappiller des points au sommet des cols.
Et tout se passe presque comme prévu, avec Ray Ussyr qui s'échappe. Seul problème, Raymond Coqui. Veille au grain.

Heureusement, Ray Ussyr réussi à le surprendre juste avant le sommet et va passer en tête de cette 1ere ascension. Il va également poursuivre son effort dans la descente pour empocher le Sprint Intermédiaire au nez et à la barbe de son partenaire d'échappée.

Pour l'instant tout se passe bien pour mon leader, mais il commence à montrer de gros signes de fatigue.
Derrière cela s'organise, et si Giancarlo Onmorementi assuré la poursuite, c'est sur une attaque ratée de Syr Ose que le regroupement s'opère

Mais les échappées décident d'en remettre une couche dans la 2eme ascension et seul le grimpeur vedette arrive à les suivre. Il va d'ailleurs les déposer facilement pour passer en tête au sommet malgré une belle résistance.

Le rythme s'accélère encore à l'avant, Ray Ussyr s'accroche comme il peut dans l'ascension suivante.... Mais quoi, non c'est pas possible, alors qu'il était aux bords de l'asphyxie, il arrive à surprendre l'équipe Poumon au sommet du 3eme col

et il continue son effort en Total apnée jusqu'à la ligne d'Arrivée résistant à la rage du désespoir de Giancarlo Onmorementi qui avait fait de cette étape son sanctuaire!

Victoire de Ray Ussyr enfin à son niveau sur ce tour de France

Au plaisir de vous lire


Ce tour de France ne me réussit définitivement pas ! Ca sent la retraite pour les coyotes à la fin de cette saison !


Pour info
je ne pourrais pas jouer ma course avant dimanche matin.
Mes résultats seront communiqués avant 12h dimanche

Syr99 dit :@Rwain : Avant cette course, je pensais la même chose. Accroche toi, et la chance va tourner
Merci pour le mot de réconfort !
Disons que j'ai bien conscience que je ne suis pas particulièrement fort sur Flamme Rouge, ça fait 2 saisons que je galère à suivre le rythme des bons joueurs, et je vise plutôt de ne pas finir lanterne rouge que le podium. Mais l'ambiance, le plaisir de jeu l'emportent sur les déceptions des résultats bruts en général...
Sauf que là, je commence à être un peu "las" d'accumuler les ratés. Ca fait 3 fois que je vise l'échappée sur une étape, 3 fois que je n'ai pas les cartes en main pour sortir par exemple. Du coup, je suis en mode déprime/rageux avant même de vraiment jouer. Peut-être que la saison 3 était un peu trop longue pour moi. J'irai au bout parce que je me suis engagé, et que pingouin le mérite bien au vu de son investissement, mais je pense bien que je ferai une pause sur la saison 4.

Résumé :
Rhéa donne tout pour rythmer la course et batailler avec Gionricardo. La bataille semble équilibrée malgré les fulgurances du grimpeur... mais ce dernier signe un sprint de montagne d'anthologie dans le final, tandis que son opposante avait légèrement craqué peu avant.
Séléné bien que discrète, signe une excellente performance finissant superbement la course en revenant sur sa coéquipière exténuée. Leur chrono est plus que satisfaisant, ce qui devrait les placer dans le haut du panier.
Que dire de la perf (extraterrestre!) de Gionricardo si ce n'est qu'il a semblé imbattable aujourd'hui. Et que tout les autres concurrents peuvent aller se rhabiller ! (sans doute même au chrono multitable)



Je te re rempli le formulaire en conséquence.
Edit : mince le formulaire ne veut pas que je corrige.
Si tu peux ajouter un tour à tout les coureurs de ma table.
(La perf de Gionricardo n'est pas si extraterrestre que ça au final)

Une équipe Asphalte surprenante qui rafle les points au sommet , un onmorémenti qui s'économise et qui atomise tout le monde dans la derniére ascension , je n'ai pu que limiter la casse . Du moins je l'éspére

retenu depuis le début pour des raisons tactiques

mais je fais vite, histoire de ne pas retarder le "vrai" CR
Compte tenu du profil de la course et de la grille, les chances de ma sprinteuse de bien figurer "à la régulière" étaient quasi nulles (et les retours de Marc et autres me confirment que ce n'était pas un soupçon paranoïaque). Et par ailleurs, les 9 du printer ont beaucoup de chances de se transformer en 5...
Du coup...
j'ai pris l'option d'une tentative d'échappée, quitte à perdre 1 énergie supplémentaire au passage
Evidemment, je ne pars pas seul.e...

Comme ma sprinteuse est plus ou moins larguée au général et que la victoire sur table est assez improbable, mon objectif est de piquer le plus de points possible. Hélas, mon coéquipier d'échappée s'accroche et même me pique l'initiative juste en haut de la montée de Peyragudes

Mais, bonne chance (la troisième ou quatrième fois sur ce Tour...), je repasse devant au meilleur moment, et pour arriver pile dans le début de la descente !

Mais la chance s'arrête là... je manque d'emporter le sprint intermédiaire (pour une case aussi), ma sprinteuse est rattrapée puis passée sans coup férir par les Poumon et Asphalte... Derrière mon rouleur a du mal à suivre, le rythme devant est fort et ses mains ne sont pas terribles...

Staska Kowaslki ne peut que tenter de suivre et s'accrocher aux coureurs de tête juste avant l'ascension du col du Portet...
Les mains commencent à faiblir... et c'est là que je tire un 9 que je n'hésite pas à jouer même en montée : il me permet d'échouer pile sur la case de descente ! Presque un "vrai" 9 en somme !

Même Onmorémenti commence à caler, l'arrivée va être serrée...

Et finalement, c'est mon dernier 9 qui me permet de passer devant in extremis !

Je m'étais préparé à sacrifier des 9 sur ce profil, mais de là à cramer les 3 (un pour l'échappée et les 2 autres en montée)... clairement je ne peux pas me plaindre du résultat, même en étant premier* à transmettre mes résultats je me doute bien que le temps final ne pourra pas me permettre de l'emporter.
Bien content de cette course... l'échappée était, je pense, la meilleure option sur cette course (qui était, je m'en suis rendu compte en construisant le circuit, plus courte que les autres...) même si elle aurait été encore meilleure pour un rouleur.
*han... non... deuxième en fait... sacré Napophil !
Bon, allez... place à la vraie course maintenant

TOUR DE FRANCE
17ème étape : Bagnères-de-Luchon - Col du Portet
Et c'est parti pour la 17ème étape, la plus difficile sans doute, et peut-être la dernière chance de combler ou de faire des écarts dans la compétition...
Pour GianRicardo Onmorémenti, c'est presque la dernière occasion de briller, et c'est aussi sur cette étape qu'il est le mieux taillé pour la victoire finale : l'on s'attend à un festival de sa part !
Et, à la surprise générale, le coup de feu est sonné par... Staska Kowalski et Ray Ussyr !!!
Partis comme des flèches presque sans concertation, les deux arrivent au pied de la montée de Peyragudes avec une belle avance.
Pour la sprinteuse de l'AlcaTorda, qui reste sur un doublé autour de Carcassonne, c'est clairement la consolidation définitive du maillot à pois qui est en vue. Ray Ussyr, quant à lui, vise peut-être une victoire de prestige...
La sprinteuse manque trop de forces pour lutter contre le vaillant rouleur, qui passe en tête au sommet de la montée de Peyragudes

La contre-attaque des grimpeurs est lancée trop tard... Mais les échappés vont-il tenir ???
Et, lorsque le groupe de contre-attaque fait la jonction dans la descente, on voit clairement Staska Kowalski lâcher prise, rattrapée tout autant par la fatigue des trois derniers jours que par les poursuivants... mais Ray Ussyr n'a pas ces états d'âme, et relance encore à l'approche de Loudenvielle...
La lutte est féroce pour le sprint intermédiaire...

Ray Ussyr rate la passe de deux !
Mais voici que la montée du Val Louron se profile...
Et le groupe de tête éclate littéralement, car Rhéa Dopter et Sibanaj portent une attaque fulgurante à laquelle personne ne parvient à réagir !
Le PK est vite avalé, avec une prime à la plus expérimentée...

Sami Subishi s'est extrait de la nasse et tente, avec l'aide de Renato Rubato, de revenir sur les coureurs en tête, mais c'est trop court... La descente est déjà là, et les crocodiles du groupe de poursuite, à présent mené par Ray Ussyr, revient déjà à toute blinde...
Personne ne pourra stopper le rouleur de Syr99 aujourd'hui ! Dès les fuyards rattrapés, il relance son effort et part seul à l'assaut du col du Portet ! Il va réussir son hold-up du jour ! Seuls Rin Durain et Ranabis cherchent à répliquer, mais de loin et un peu tard peut-être...
Le groupe de contre-attaque est totalement désorganisé, Robert Rooky perdant du temps en restant au contact d'une Staska Kowalski pourtant peu offensive et surtout préoccupée de ne pas lâcher le groupe de poursuite, mais surtout de Séléné de la Fratrie, principale rivale du maillot jaune... Ceci fait les affaires de Rafi Fété Fifimple, qui file à l'anglaise avec Sami Subishi, chacun avec ses propres priorités...

et derrière, loin derrière, le maillot jaune Simon Sox ne parvient pas à tenir le rythme... il cherche à réveiller un peloton plutôt à la peine aujourd'hui... et les secondes défilent...
Les organismes souffrent, les derniers lacets sont une épreuve... et c'est le moment que choisit GianRicardo Onmorémenti pour lancer une attaque explosive !
Accompagné de Pauline Gerrand-Sabot et Rasta Laguibole, il passe en revue tous les coureurs les uns après les autres, avec une énergie proche de la rage et qui sape quelques motivations... Ils avalent les virages à un rythme ahurissant et reviennent comme des bombes sur Ray Ussyr, qui semble seul en tête et de plus en plus fragile face à une telle offensive...
Mais l'attaque est tellement violente que même Pauline Gerrand-Sabot commence à fléchir... Puis, alors que Ray Ussyr est à portée de vélo, c'est au tour de Rasta Laguibole de flancher...
Finalement, GianRicardo Onmorémenti est le seul qui semble encore en mesure de rivaliser avec celui qui sera, quoi qu'il arrive, le combatif du jour ! A quatre kilomètres de l'arrivée, ils sont au coude-au-coude et presque seuls au monde ! Ray Ussyr semble particulièrement marqué mais il tient, au courage mais il tient, à la fierté mais il tient !
Mais, hélas, il aura trop donné tout au long de la journée et, lorsque GianRicardo Onmorémenti porte une ultime attaque, chacun voit qu'il essaie de répondre mais n'y parvient plus... Le grimpeur star de l'équipe Poumon s'échappe presque à la dérobée pour une seconde victoire sur ce Tour, attendue certes mais moins tumultueuse qu'on n'aurait pu le penser...

Il l'emporte donc devant un exceptionnel Ray Ussyr qui aurait, tout autant que le grimpeur, bien mérité les lauriers du jour... et loin devant tout le monde et notamment face à un groupe de poursuite dont le sprint est réglé "à la fatigue" par Robert Rooky.
Le maillot jaune Simon Sox limite à nouveau la casse avec une vingtaine de secondes laissées à ses poursuivants directs... Avec une grosse minute d'avance à trois étapes de l'arrivée, peut-il se considérer vainqueur ???
Séléné de la Fratrie reprend le maillot vert pour un petit point... autant dire que rien n'est joué ! mais elle est à présent talonnée pour le prestigieux Dossard de la combativité, et sur ces deux tableaux à tout peut arriver !!!
Pour le maillot blanc, il est confirmé que, sauf accident industriel majeur, il sera aux Champs-Elysées sur les épaules de Roulta Bécaen ou Romain Cocotte, ce dernier n'étant finalement parvenu, malgré ses efforts aujourd'hui, qu'à récupérer une poignée de secondes...
Et enfin, Staska Kowalski monte sur le podium du Grand Prix de la Montagne avec un large sourire car elle a aujourd'hui gagné son pari : grâce à la tactique payante dans la montée de Peyragudes, elle est allé glaner suffisamment de points pour que le maillot à pois reste sur ses épaules jusqu'aux Champs...

...à très bientôt pour la suite !


Et puis pour une fois que je suis dedans je vais pas bouder mon plaisir même si je me suis fait coiffer au poteau par ce satané grimpeur!
Il aura fallu attendre cette étape pour que enfin tout se passe bien pour mon leader.
Sinon @vicen : je change de table de tps en tps mais j'ai encore ma nappe psychédélique, ne t'inquiète pas
