
En toute objectivité, bien sûr. 😁
Légende à utiliser :




Mon top 3 :
3 - Antoine Bauza :




2 - Thomas Lehmann :






Et là médaille d'or pour...
1 - Uwe Rosenberg :













En réalité, là où je me sens totalement en décalage avec la réalité alternative de nombre de joueurs, c'est avec Antoine Bauza.
Autant Lehmann, ca vient clairement de moi, je ne suis pas sensible à ses jeux.
Concernant Rosenberg, j'ai beaucoup de mal à comprendre le plaisir qu'on peut prendre dans ces jeux où la surenchère d'options possibles pour le joueur écrase totalement le ressort ludique, selon moi.
Mais je me dis aussi que les jeux ampoulés où l'usage d'artifice que j'estime grossier (comme la profusion inutile de règles et de possibilités) doit réjouir certains joueurs. Selon moi, on peut faire bien plus profond avec nettement moins, mais il y a tout de même cet aspect " pléthorique " qui ne se voit pas fréquemment. Donc à la rigueur, pourquoi pas (au passage, Chvaatil est bien plus créatif, intuitif et malin dans le genre de la pléthore). Reste le choix des thèmes moisis et ultra-plaqués (sérieusement, Uwe, tu déconnes)...

Mais le cas Bauza me questionne vraiment.
Pourquoi une telle réussite? Je ne comprends vraiment pas. Je ne vois chez lui rien de particulier. Ses jeux sont pour moi très convenus, peu passionnant, et ressemblent toujours au genre à la mode au moment de leurs sorties, sans rien apporté de bien novateur ou remarquable.
Je prends plaisir à jouer à certains de ses jeux, mais vraiment sans passion. Pourquoi un tel engouement selon vous?

Laidzep dit :En réalité, là où je me sens totalement en décalage avec la réalité alternative de nombre de joueurs, c'est avec Antoine Bauza.
Tout le monde aura compris qu'ici, la mauvaise foi et l'exagération sont de mise.
Autant Lehmann, ca vient clairement de moi, je ne suis pas sensible à ses jeux.
Rosenberg, j'ai beaucoup de mal à comprendre le plaisir qu'on peut prendre dans ces jeux où la surenchère d'options possibles pour le joueur écrase totalement le ressort ludique, mais je me dis que les jeux ampoulés où l'usage d'artifice grossier comme la profusion inutile de règles et de possibilités doit réjouir certains joueurs. Selon moi, on peut faire bien plus profond avec nettement moins, mais il y a tout de même cet aspect " pléthorique " qui ne se voit pas fréquemment. Donc à la rigueur, pourquoi pas (au passage, Chvaatil est bien plus créatif dans le genre de la pléthore). Reste le choix des thèmes moisis et ultra-plaqués (sérieusement, Uwe, tu déconnes)...
Mais le cas Bauza me questionne vraiment.
Pourquoi une telle réussite? Je ne comprends vraiment pas. Je ne vois chez lui rien de particulier. Ses jeux sont pour moi très convenus, peu passionnant, et ressemblent toujours au genre à la mode au moment de leurs sorties, sans rien apporté de bien novateur ou remarquable.
Je prends plaisir à jouer à certains de ses jeux, mais vraiment sans passion. Pourquoi un tel engouement selon vous?
Ses jeux sont accessibles sans aides extérieures et agréables dès la première partie.
L'absence d'ambiguïté sur les règles n'est malheureusement pas si courant (erreur de traduction, FAQ, etc.)
Et il y a un public pour les jeux qui ne nécessitent pas de jouer 10 fois pour développer un syndrome de Stockholm afin de les apprécier (on a bien dit qu'il fallait un peu de mauvaise foi?)

Pourquoi tant de haine ?

Ensuite il a l air apprécié dans un milieu où les collaborations et le réseau est important.
Perso sur l argument marketing je me suis fait "avoir" sur kraken attacks donc je suis plus prudent sur d éventuels achats de jeux auxquels il a contribué.

Casimir Morel dit :Laidzep dit :En réalité, là où je me sens totalement en décalage avec la réalité alternative de nombre de joueurs, c'est avec Antoine Bauza.
Tout le monde aura compris qu'ici, la mauvaise foi et l'exagération sont de mise.
Autant Lehmann, ca vient clairement de moi, je ne suis pas sensible à ses jeux.
Rosenberg, j'ai beaucoup de mal à comprendre le plaisir qu'on peut prendre dans ces jeux où la surenchère d'options possibles pour le joueur écrase totalement le ressort ludique, mais je me dis que les jeux ampoulés où l'usage d'artifice grossier comme la profusion inutile de règles et de possibilités doit réjouir certains joueurs. Selon moi, on peut faire bien plus profond avec nettement moins, mais il y a tout de même cet aspect " pléthorique " qui ne se voit pas fréquemment. Donc à la rigueur, pourquoi pas (au passage, Chvaatil est bien plus créatif dans le genre de la pléthore). Reste le choix des thèmes moisis et ultra-plaqués (sérieusement, Uwe, tu déconnes)...
Mais le cas Bauza me questionne vraiment.
Pourquoi une telle réussite? Je ne comprends vraiment pas. Je ne vois chez lui rien de particulier. Ses jeux sont pour moi très convenus, peu passionnant, et ressemblent toujours au genre à la mode au moment de leurs sorties, sans rien apporté de bien novateur ou remarquable.
Je prends plaisir à jouer à certains de ses jeux, mais vraiment sans passion. Pourquoi un tel engouement selon vous?Ses jeux sont accessibles sans aides extérieures et agréables dès la première partie.
L'absence d'ambiguïté sur les règles n'est malheureusement pas si courant (erreur de traduction, FAQ, etc.)
Et il y a un public pour les jeux qui ne nécessitent pas de jouer 10 fois pour développer un syndrome de Stockholm afin de les apprécier (on a bien dit qu'il fallait un peu de mauvaise foi?)
Je suis d'accord pour l'accessibilité (malgré les points de règles parfois obscurs). Mais, car oui, il y a un mais... Il y a PLEEEIINNS de jeux aujourd'hui qui répondent à ces critères ! C'est même un des critères primordiaux d'édition. Certains petits jeux qu'on aurait qualifié d'apéro dans les années 2000, sont marketés de façon à se positionner en milieu de gamme, avec grosse boîte, et tout, et tout...
J'ai l'impression que 7 Wonders a jouis d'une notoriété particulière parce qu'il a reunis 7 joueurs autour d'une table occupés à autre chose que de démasquer des loups-garous.
Et en rebond, j'ai l'impression qu'Antoine Bauza a bénéficié de cette inertie, même en créant des jeux tout à fait standard (Tokaïdo, Takenoko, ... ).
Je me demande aujourd'hui ce qu'il a de remarquable. Ce n'est pas un jugement, c'est une vraie question. Pour moi, il est un bon auteur qui sait faire de bons jeux familiaux, mais parmi beaucoup d'autres. Et certains font mieux.
Le succes de 7 Wonders Architect dans la presse et commetcialement a été une réelle surprise pour moi (nomination au SdJ je crois?). Mais que propose-t-il de meilleur que certains familiaux plus riches, plus accessibles, plus profonds mais qui eux restent confidentiels?
J'ai essayé 7 Wonders Architects, je l'ai trouvé propre, peaufiné... Pour correspondre aux standards du marché. Mais sans âme, je lui préfère son aîné (même remarque pour Caylus 1303, vraiment moins bon que l'original pour le coup).
Je reconnais qu'ils ont des avantages : plus rapide, plus simple, plus hasardeux donc plus accessible.
Mais en quoi 7 Wonder Architect est-t-il plus familial que l'âge de Pierre, Dominion, Small World ? C'est ça qui je ne comprends pas. Pourquoi ce succès, pour cet auteur, avec autant d'élan? Bon auteur, oui, j'en conviens. Mais pourquoi plus lui que les autres d'en face? Curieux, curieux. 🤔

dawilok dit :Pour Bauza je pense qu il a su sortir des jeux qui ont bien fonctionné (7 wonders et Tokaido), des jeux qui parlent à un public familial (Takenoko) et que c est ce qui fait que son nom devient un argument marketing.
Ensuite il a l air apprécié dans un milieu où les collaborations et le réseau est important.
Perso sur l argument marketing je me suis fait "avoir" sur kraken attacks donc je suis plus prudent sur d éventuels achats de jeux auxquels il a contribué.
Je suis OK pour 7 Wonders pour le nombres de joueurs facile à réunir sans multiplier le temps par 12.
Tokaïdo et Takenoko sont très propres mais très conventionnels en revanche. Ils ne se démarquent pas spécialement de la concurrence dans le familial.
Et je dirais même que Tokaïdo et sa salade de points peu rebuté le public familial.
Bref, bref... Énigmatique, énigmatique... 🤔
P.S. : je fais attention avant d'acheter Bauza, aussi. Je m'assure que le jeu va convenir à mes joueurs occasionnels.

Laidzep dit :Casimir Morel dit :Laidzep dit :En réalité, là où je me sens totalement en décalage avec la réalité alternative de nombre de joueurs, c'est avec Antoine Bauza.
Tout le monde aura compris qu'ici, la mauvaise foi et l'exagération sont de mise.
Autant Lehmann, ca vient clairement de moi, je ne suis pas sensible à ses jeux.
Rosenberg, j'ai beaucoup de mal à comprendre le plaisir qu'on peut prendre dans ces jeux où la surenchère d'options possibles pour le joueur écrase totalement le ressort ludique, mais je me dis que les jeux ampoulés où l'usage d'artifice grossier comme la profusion inutile de règles et de possibilités doit réjouir certains joueurs. Selon moi, on peut faire bien plus profond avec nettement moins, mais il y a tout de même cet aspect " pléthorique " qui ne se voit pas fréquemment. Donc à la rigueur, pourquoi pas (au passage, Chvaatil est bien plus créatif dans le genre de la pléthore). Reste le choix des thèmes moisis et ultra-plaqués (sérieusement, Uwe, tu déconnes)...
Mais le cas Bauza me questionne vraiment.
Pourquoi une telle réussite? Je ne comprends vraiment pas. Je ne vois chez lui rien de particulier. Ses jeux sont pour moi très convenus, peu passionnant, et ressemblent toujours au genre à la mode au moment de leurs sorties, sans rien apporté de bien novateur ou remarquable.
Je prends plaisir à jouer à certains de ses jeux, mais vraiment sans passion. Pourquoi un tel engouement selon vous?Ses jeux sont accessibles sans aides extérieures et agréables dès la première partie.
L'absence d'ambiguïté sur les règles n'est malheureusement pas si courant (erreur de traduction, FAQ, etc.)
Et il y a un public pour les jeux qui ne nécessitent pas de jouer 10 fois pour développer un syndrome de Stockholm afin de les apprécier (on a bien dit qu'il fallait un peu de mauvaise foi?)Je suis d'accord pour l'accessibilité (malgré les points de règles parfois obscurs). Mais, car oui, il y a un mais... Il y a PLEEEIINNS de jeux aujourd'hui qui répondent à ces critères ! C'est même un des critères primordiaux d'édition. [...]
Il y en a, mais je n'ai pas l'impression que ce soit la majorité.
Sur love letter, c'est la question de cible valide quand il y a une protection, sur deep sea adventures c'est savoir si on peut être deux sur une case, sur small world of warcraft c'est de savoir si le champion peut être redéployés comme une unité normale, sur hive c'est l'erreur de traduction qui dit que la reine doit être entourée d'insectes de même couleur, sur Kingdomino c'est la position du château dans le carré, sur bananagram c'est le nombre de tuile qu'on récupère quand on en défausse une.
Ce besoin de revenir à la règle qui reste courant sur une première lecture.
Il y a peu de jeux sur lesquels je n'ai pas vu ce genre d'hésitation, souci qui n'est pas que lié à la rédaction mais aussi au design même du jeu.
Ceux sur lesquels je n'ai pas eu d'hésitations sont Draftosaurus, 7 wonder duel, Onitama, Dooble, SHDC, Cartaventura et Ricochet. Du coup je trouve qu'Antoine Bauza se démarque (de mon point de vue, de ma maigre expérience, toussa)

1/ Guillaume Musso
2/ Marc Levy
3/ Linda de Souza
Bons jeux.
OUPS

Désolé


kibitzerCripure dit :Bonjour,
1/ Guillaume Musso
2/ Marc Levy
3/ Linda de Souza
Bons jeux.
OUPSj'avais pas compris qu'il s'agissait d'auteurs de ... jeux !
Désolé
Bon H.S cher kibitzerCripure ! c'est rafraîchissant !
Mais dans le même esprit, j'aurais fait des propositions un peu plus provocatrices :
3. Barjavel
2. J.K.Rowling
1. Tolkien.

cooper2005 dit :kibitzerCripure dit :Bonjour,
1/ Guillaume Musso
2/ Marc Levy
3/ Linda de Souza
Bons jeux.
OUPSj'avais pas compris qu'il s'agissait d'auteurs de ... jeux !
DésoléBon H.S cher kibitzerCripure ! c'est rafraîchissant !
Mais dans le même esprit, j'aurais fait des propositions un peu plus provocatrices :
3. Barjavel
2. J.K.Rowling
1. Tolkien.
Bonjour cooper2005,
Ah NON pas Tolkien, non !!!
Bon, Barjavel OK, suis d'accord.

C'est sûr que ça ne concerne pas tous ses jeux, mais il a clairement contribué à l'essor des jeux "à la française" (une troisième voie entre ameritrash et jeux à l'allemande 😁).

cooper2005 dit :kibitzerCripure dit :Bonjour,
1/ Guillaume Musso
2/ Marc Levy
3/ Linda de Souza
Bons jeux.
OUPSj'avais pas compris qu'il s'agissait d'auteurs de ... jeux !
DésoléBon H.S cher kibitzerCripure ! c'est rafraîchissant !
Mais dans le même esprit, j'aurais fait des propositions un peu plus provocatrices :
3. Barjavel
2. J.K.Rowling
1. Tolkien.
Mes propositions d'auteurs surestimés n'ont rien de provocatrices ! Rien ... 😁

Buiss dit :Concernant Antoine Bauza, mon impression c'est plutôt qu'il a été en avance sur son temps, et que ses jeux ont influencé la création ludique même au delà de nos frontières. Ce qui peut donner l'impression, a posteriori, qu'il est "dans le moule".
C'est sûr que ça ne concerne pas tous ses jeux, mais il a clairement contribué à l'essor des jeux "à la française" (une troisième voie entre ameritrash et jeux à l'allemande 😁).
C'est une réflexion que je me suis déjà faite mais à mon sens, elle ne tient pas. L'école française n'est pas né avec l'éclosion de Bauza. Maublanc, Faidutti, Cathala pour citer les plus connus créaient déjà avant le succès de Bauza.
Hors le phénomène groupe d'amis qui s'assoit autour d'une table pour jouer à l'habituel loup-garous ou Cranium et découvre soudain qu'un jeu sympa, différent, pas plus long, pour autant de joueurs, existe (donnant ainsi beaucoup de visibilité à 7 Wonders), je ne vois pas en quoi Bauza a " guider " l'industrie du jeu à l'européenne par une quelconque aptitude qu'il serait seul à posséder. J'ai déjà donné des jeux tout à fait familiaux façon Bauza plus haut, sortis avant, mais qui n'ont pas donné la même visibilité à leurs auteurs.
Pour moi, Bauza, c'est sûrement un peu plus de chance, le bon moment, au bon endroit, sans oublier de sortir le jeu de qualité pour une grande table. Qu'on soit clair, Bauza est un bon créateur, mais je vois bien plus un concours de circonstances très favorables dans son ascension fulgurante, qu'une qualité que d'autres bons créateurs ne possèdent pas.

Curieux de voir les arguments des défenseurs, comme ceux qui sont de mon avis.


En grand public, 7W et Takenoko sont de belles réussites.
A côté de ça, il a fait Hanabi, qui est un OVNI ludique assez incroyable, offrant de nombreuses possiblités. Le jeu est particulier, mais c'est une sacrée réussite dans son genre et il n'a absolument rien de convenu.
Il a aussi créé Ghost Stories/Last Bastion, qui, en terme de jeu coop "velu" fait partie de la crème. Une adversité monumentale au début, de nombreuses choses à découvrir en y jouant, des extensions super bien foutues,...
Ca fait déjà beaucoup pour un seul auteur.
Quant à Rosenberg, c'est une blague de le voir là.
Le type a créé l'un des jeux d'échange rapide et fun les plus aboutis du marché (Bohnanza), un jeu à 2 aux facettes inexplorés qui avaient quasi 10 ans d'avance (Babel), un OVNI ludique oublié mais incroyable (Bali), 2 jeux mêlant de manière subtiles mémoire et bluff (Limits et Mamma Mia), LE jeu qui a transcendé l'eurogame moderne (Agricola), un jeu à 2 de placement accessible et malin (Patchwork).
Alors oui, si tu regarde son travail depuis 2010, tu peux le trouver surcôté, mais si tu regardes l'ensemble de son oeuvre, faut être sacrément culotté pour trouver cet auteur "surcôté".

Après il y a Uwe Rosenberg (pardon hein...


Et Le Havre ? je sais pas..., je crois que je me suis endormi durant un partie.
Enfin, le troisième,...mais là j'ose pas...



Baraxis dit :Ça fait longtemps que Topito ne fait plus de top 10, ils sont passés à des tops 3d6
Vivement qu'on rentre dans le dur avec un CROC top (prudemment sexy)

Quand il sort 7 wonders ça fait un réel carton,tous les joueurs l'achètent et y joue, le draft même si il existait déjà a été découvert a ce moment là dans les jeux modernes par énormément de personnes
Ghost stories a su se démarquer dans les jeux coopératifs a une époque où il y en avait très peu,seul pandémie et les chevaliers de la table ronde se démarquait
Hanabi ça été aussi clairement une belle petite bombe a condition d'aimer le style
Je ne pense pas qu'il faut résumer bauza a tokaido et takenoko qui sont certes des bons jeux mais c'est pas là où l'auteur a fait fort..
Uwe Rosenberg beaucoup le deglingue, c'est une question de goût bien sûre , pour ma part je le trouve top car c'est bien un des seul auteur qui propose des jeux au règles simple et sans ambiguïté avec une belle profondeur de jeu pour des jeux assez long ,après oui les thèmes ne sont pas sexy mais ça a la rigueur tu le sais avant d'essayer ou d'acheter le jeu , je trouve que l'auteur est très bon sur des gros jeux mais pas forcément sur des légers même si j'aime bien Mamma Mia
Pour répondre à la question c'est difficile de sortir un auteur surestimé car pour ça il faudrait jouer a tous les jeux de l'auteur

Y'a vraiment pour Tokaido où je comprends pas l'engouement (dans ma liste des jeux surestimés 😁)
Pour la comparaison d'architecte, avec smallworld et compagnie je dis non !
7WA c'est un jeu familial, là où les autres sont des familiaux+ voire ++. Comparer 7W ou 7WD ok, mais architecte, non quoi.
Et sur le créneau du familial, Antoine Bauza est bon, c'est juste que ici on est un peu moins la cible.
Perso je déteste 7WA, mais c'est juste parce que c'est un jeu trop familial pour moi.
Donc Bauza surestimé, non vraiment pas, pour moi.
Après j'ai pas de nom pour des auteurs surestimés car il y en a plein que je n'ai pas joué, dans les gros lourds. Mais Stegmaier et Pfister, je leur réserve une place.
Uwe Rosenberg c'est spécial, il a vraiment des thématiques de merde et en plus d'avoir des goûts de chiotte en matière d'illustration. Mais Patchwork c'est un bijou.

Ça suinte la bienveillance.